Différences entre les versions de « Azengal »
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[[Fichier:Azengal.jpg| | [[Fichier:Azengal.jpg|600px|right|thumb|Azengal, autrefois l'ultime bastion des mortels]] | ||
Azengal | Azengal fut fondée il y a plusieurs siècles par les [[Théocratie d'Eanor|Iustiens]], en tant que bastion avancé destiné à défendre les frontières de [[Telunia]] contre les menaces venues de [[Danaroth]]. Conçue comme une forteresse imprenable, elle devint rapidement un symbole de discipline et de résistance, le cœur militaire des royaumes Iustiens. | ||
Au fil des âges, Azengal fut le théâtre de nombreuses campagnes majeures, repoussant aussi bien des invasions humaines que des incursions de créatures surnaturelles. Si les Iustiens en conservèrent le contrôle pendant de longues générations, leur influence s’éroda avec le temps, alors que d’autres factions, guildes, et ordres indépendants commencèrent à s'y établir. Parmi eux, la légendaire Croix d’Acier, un ordre militaire d’élite, trouva en Azengal un foyer et un bastion stratégique. | |||
Lorsque le Chaos se déchaîna sur le monde et que la [[Porte du chaos]] libéra les [[Calamités]], Azengal devint un point de résistance central sur Danaroth. Sous le commandement du général [[Leofric]], la ville abrita les réfugiés, les combattants et les aventuriers fuyant la corruption. Elle résista longtemps aux assauts des légions chaotiques, jusqu’à l’année 703, où elle fut finalement encerclée par les forces d’[[Urakis]], la Bête de Guerre. | |||
Ce fut alors que se produisit l’un des événements les plus marquants de l’Âge du Chaos : le Sacrifice d’Azengal. Durant l’assaut final, la Croix d’Acier résista avec acharnement, permettant l’évacuation de milliers de civils par un portail magique activé dans la salle du conseil. Le général Leofric, accompagné des derniers défenseurs et d’un groupe d’aventuriers, affronta Urakis dans un dernier acte de bravoure. On raconte que son cri – « Par Iorr, que la lumière nous juge ! » – résonna jusque dans les cieux. | |||
Le portail se referma, scellant le destin de la ville. Azengal fut dévastée, mais son nom demeure gravé dans les mémoires comme un symbole de sacrifice et d’honneur. Les survivants de la Croix d’Acier et les réfugiés évacués participèrent plus tard à la fondation de <b>Velarion</b>, la dernière cité libre, érigée sur les cendres de cet héritage. | |||
Version actuelle datée du 28 juin 2025 à 14:49
Azengal fut fondée il y a plusieurs siècles par les Iustiens, en tant que bastion avancé destiné à défendre les frontières de Telunia contre les menaces venues de Danaroth. Conçue comme une forteresse imprenable, elle devint rapidement un symbole de discipline et de résistance, le cœur militaire des royaumes Iustiens.
Au fil des âges, Azengal fut le théâtre de nombreuses campagnes majeures, repoussant aussi bien des invasions humaines que des incursions de créatures surnaturelles. Si les Iustiens en conservèrent le contrôle pendant de longues générations, leur influence s’éroda avec le temps, alors que d’autres factions, guildes, et ordres indépendants commencèrent à s'y établir. Parmi eux, la légendaire Croix d’Acier, un ordre militaire d’élite, trouva en Azengal un foyer et un bastion stratégique.
Lorsque le Chaos se déchaîna sur le monde et que la Porte du chaos libéra les Calamités, Azengal devint un point de résistance central sur Danaroth. Sous le commandement du général Leofric, la ville abrita les réfugiés, les combattants et les aventuriers fuyant la corruption. Elle résista longtemps aux assauts des légions chaotiques, jusqu’à l’année 703, où elle fut finalement encerclée par les forces d’Urakis, la Bête de Guerre.
Ce fut alors que se produisit l’un des événements les plus marquants de l’Âge du Chaos : le Sacrifice d’Azengal. Durant l’assaut final, la Croix d’Acier résista avec acharnement, permettant l’évacuation de milliers de civils par un portail magique activé dans la salle du conseil. Le général Leofric, accompagné des derniers défenseurs et d’un groupe d’aventuriers, affronta Urakis dans un dernier acte de bravoure. On raconte que son cri – « Par Iorr, que la lumière nous juge ! » – résonna jusque dans les cieux.
Le portail se referma, scellant le destin de la ville. Azengal fut dévastée, mais son nom demeure gravé dans les mémoires comme un symbole de sacrifice et d’honneur. Les survivants de la Croix d’Acier et les réfugiés évacués participèrent plus tard à la fondation de Velarion, la dernière cité libre, érigée sur les cendres de cet héritage.