Différences entre les versions de « Aric II »

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(Page créée avec « Aric II est le souverain en exercice du Royaume d'Esturnia, l'un des plus puissants royaumes du monde médiéval fantastique dans lequel il vit. Né dans une famille royale, il a grandi dans l'ombre de son père, le roi précédent, qui l'a préparé à prendre le trône dès son plus jeune âge. <br><br> À l'âge de vingt-trois ans, Aric a succédé à son père sur le trône et a rapidement gagné la réputation d'être un roi compétent et juste. Sa volon... »)
 
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Aric II est le souverain en exercice du [[Royaume d'Esturnia]], l'un des plus puissants royaumes du monde médiéval fantastique dans lequel il vit. Né dans une famille royale, il a grandi dans l'ombre de son père, le roi précédent, qui l'a préparé à prendre le trône dès son plus jeune âge.
Aric II fut le dernier souverain légitime du Royaume d’Esturnia, un royaume numien de premier plan, aujourd’hui tombé sous domination chaotique. Connu pour sa droiture, son autorité et sa proximité avec son peuple, Aric II reste une figure emblématique de la royauté déchue.
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À l'âge de vingt-trois ans, Aric a succédé à son père sur le trône et a rapidement gagné la réputation d'être un roi compétent et juste. Sa volonté de protéger son royaume et ses sujets a été mise à l'épreuve en 690, lorsque des assassins ont tenté de le tuer. Bien que l'on ait soupçonné un complot impliquant le royaume voisin de la [[Théocratie d'Eanor]], les coupables ont finalement été appréhendés et exécutés sans preuve concluante d'une implication étrangère.
===Origines et règne===
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Issu de la maison royale d’Esturnia, Aric II grandit sous la tutelle stricte de son père, un roi respecté qui le forma dès son plus jeune âge à la gouvernance, à la diplomatie et à la stratégie militaire.
Malgré cet incident, Aric a continué de régner avec succès, en se consacrant à la défense de son royaume contre les menaces internes et externes. Il a également travaillé à améliorer la vie de ses sujets, en réduisant les impôts et en finançant des projets de développement économique.
 
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Il monta sur le trône à l’âge de vingt-trois ans, succédant à son père. Rapidement, il gagna la réputation d’un roi compétent, juste et proche de ses sujets. Aric engagea des réformes économiques importantes, abaissant les impôts, favorisant les échanges commerciaux avec [[Orios]] et [[Maqshu]], et finançant divers projets d’infrastructure.
Aric II est un roi aimé de son peuple, respecté par ses ennemis et craint par ceux qui cherchent à nuire à son royaume. Sa sagesse, son intelligence et son courage en font un leader hors pair, capable de guider son pays vers un avenir prospère et heureux.
 
En 690, il échappa de peu à un attentat politique. L’enquête mena à des soupçons non confirmés envers la Théocratie d’Eanor, mais les responsables furent exécutés sans preuve définitive d’une implication étrangère.
 
===Mort et chute du royaume===
En 703, le royaume d’Esturnia fut frappé de plein fouet par les légions de la Calamité [[Valtara]]. Après la Nuit de Sang et la destruction de la [[Compagnie Écarlate]], la campagne de Valtara se poursuivit par la prise de [[Phareos]], puis d’[[Orios]].
 
La capitale [[Arcosia]] fut assiégée peu après. Malgré une tentative de résistance orchestrée par les dernières troupes loyales, la ville fut envahie. Aric II fut massacré avec l’ensemble de sa famille royale dans ce qui est désormais considéré comme l’un des événements les plus violents de la guerre contre le Chaos.
 
À l’issue de la prise de la ville, un certain [[Owen]], disciple déclaré du Chaos, fut placé sur le trône par les forces de Valtara. Ce nouveau régime corrompu contrôle désormais Arcosia, tandis que le souvenir d’Aric II est réduit à des cendres dans un royaume désacralisé.
 
===Héritage===
Aric II est aujourd’hui honoré comme le dernier roi légitime d’Esturnia. Sa mort tragique, aux côtés de toute sa lignée, a marqué la fin d’une ère. Pour les numiens restés fidèles à l’ancien ordre, son nom est devenu un symbole de fierté nationale, de loyauté perdue et de deuil royal.

Version du 28 juin 2025 à 14:56

Aric II fut le dernier souverain légitime du Royaume d’Esturnia, un royaume numien de premier plan, aujourd’hui tombé sous domination chaotique. Connu pour sa droiture, son autorité et sa proximité avec son peuple, Aric II reste une figure emblématique de la royauté déchue.

Origines et règne

Issu de la maison royale d’Esturnia, Aric II grandit sous la tutelle stricte de son père, un roi respecté qui le forma dès son plus jeune âge à la gouvernance, à la diplomatie et à la stratégie militaire.

Il monta sur le trône à l’âge de vingt-trois ans, succédant à son père. Rapidement, il gagna la réputation d’un roi compétent, juste et proche de ses sujets. Aric engagea des réformes économiques importantes, abaissant les impôts, favorisant les échanges commerciaux avec Orios et Maqshu, et finançant divers projets d’infrastructure.

En 690, il échappa de peu à un attentat politique. L’enquête mena à des soupçons non confirmés envers la Théocratie d’Eanor, mais les responsables furent exécutés sans preuve définitive d’une implication étrangère.

Mort et chute du royaume

En 703, le royaume d’Esturnia fut frappé de plein fouet par les légions de la Calamité Valtara. Après la Nuit de Sang et la destruction de la Compagnie Écarlate, la campagne de Valtara se poursuivit par la prise de Phareos, puis d’Orios.

La capitale Arcosia fut assiégée peu après. Malgré une tentative de résistance orchestrée par les dernières troupes loyales, la ville fut envahie. Aric II fut massacré avec l’ensemble de sa famille royale dans ce qui est désormais considéré comme l’un des événements les plus violents de la guerre contre le Chaos.

À l’issue de la prise de la ville, un certain Owen, disciple déclaré du Chaos, fut placé sur le trône par les forces de Valtara. Ce nouveau régime corrompu contrôle désormais Arcosia, tandis que le souvenir d’Aric II est réduit à des cendres dans un royaume désacralisé.

Héritage

Aric II est aujourd’hui honoré comme le dernier roi légitime d’Esturnia. Sa mort tragique, aux côtés de toute sa lignée, a marqué la fin d’une ère. Pour les numiens restés fidèles à l’ancien ordre, son nom est devenu un symbole de fierté nationale, de loyauté perdue et de deuil royal.