Différences entre les versions de « Edylos »
(Page créée avec « Edylos est la capitale de la théocratie d'Eanor, également connue sous le nom de "Saint Siège". Cette ville impressionnante est nichée au creux d'une montagne et est la plus grande et la plus peuplée de tout le pays. Dès que vous pénétrez dans la ville, vous serez immédiatement frappé par l'architecture complexe et les nombreux religieux qui arpentent les rues. <br><br> La ville est organisée de manière concentrique, avec le cœur religieux et de la n... ») |
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Edylos | Edylos était autrefois la capitale sacrée du Saint-Siège, cité-montagne des [[Iustiens]] et cœur religieux du royaume. Érigée au creux des montagnes, elle incarnait l’autorité spirituelle, l’ordre sacré et la permanence de la foi. Ses coupoles dorées, ses ponts de pierre blanche et son organisation concentrique en faisaient un joyau d’architecture liturgique et politique. | ||
En l’an 703, la cité subit le Massacre d’Edylos lors de l’assaut de la Calamité [[Kethesh]]. Malgré une résistance héroïque menée par [[Erwin II]] et les habitants, la ville fut submergée. Le roi mourut dans les combats, et le sanctuaire sacré fut profané. | |||
Edylos est | Depuis, Edylos est tombée sous la coupe du Chaos. Si [[Ulrich I]], ancien commandant de l’armée sacrée, parvint à repousser brièvement les légions hors de la cité, il fut rapidement renversé par les agents du Chaos infiltrés dans la structure religieuse. Le cœur spirituel d’Edylos est désormais un temple noir, détourné à des fins de propagande chaotique, où des cultes corrompus officient à la place des anciens prêtres. | ||
La | La population vit aujourd’hui sous un régime d’occupation masquée, dirigée par un régent vassal du Chaos, probablement issu du clergé déchu ou d’un noble converti. Les rues sont surveillées, les liturgies interdites, et la résistance réduite à de simples murmures dans les souterrains. | ||
Version actuelle datée du 28 juin 2025 à 12:21
Edylos était autrefois la capitale sacrée du Saint-Siège, cité-montagne des Iustiens et cœur religieux du royaume. Érigée au creux des montagnes, elle incarnait l’autorité spirituelle, l’ordre sacré et la permanence de la foi. Ses coupoles dorées, ses ponts de pierre blanche et son organisation concentrique en faisaient un joyau d’architecture liturgique et politique.
En l’an 703, la cité subit le Massacre d’Edylos lors de l’assaut de la Calamité Kethesh. Malgré une résistance héroïque menée par Erwin II et les habitants, la ville fut submergée. Le roi mourut dans les combats, et le sanctuaire sacré fut profané.
Depuis, Edylos est tombée sous la coupe du Chaos. Si Ulrich I, ancien commandant de l’armée sacrée, parvint à repousser brièvement les légions hors de la cité, il fut rapidement renversé par les agents du Chaos infiltrés dans la structure religieuse. Le cœur spirituel d’Edylos est désormais un temple noir, détourné à des fins de propagande chaotique, où des cultes corrompus officient à la place des anciens prêtres.
La population vit aujourd’hui sous un régime d’occupation masquée, dirigée par un régent vassal du Chaos, probablement issu du clergé déchu ou d’un noble converti. Les rues sont surveillées, les liturgies interdites, et la résistance réduite à de simples murmures dans les souterrains.