Ordre de la croix d'acier

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Ordre de la croix d'acier

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Informations sur la faction
Dirigeant Inconnu
Nation parente Théocratie d'Eanor





Le sang versé dans la bataille contre le mal est le prix de notre victoire.
— Ordonnateur Varks



L’Ordre de la croix d’acier est une faction mineure de la Théocratie d'Eanor. Il s’agit d’un ordre guerrier luttant contre le mal sous toutes ses formes.

Description

L’Ordre de la Croix d’Acier était une organisation militaire sacrée de la Théocratie d’Eanor, directement rattachée aux plus hautes sphères du culte de Iorr. Fondé à l’origine pour défendre les frontières de Telunia contre les incursions démoniaques et les forces du Chaos, l’ordre représentait l’incarnation du zèle guerrier et de la foi militante des Iustiens.

Basé dans la forteresse de Azengal, ils formaient le dernier rempart terrestre entre Telunia et Danaroth. Leur bannière, une croix blanche sur fond d’acier, était synonyme d’espérance pour les fidèles, et de terreur pour les forces impies.

Croyances et fonction

Chaque membre de l’ordre voyait ses combats comme une croisade sacrée. La guerre était pour eux un acte liturgique : chaque épée levée, chaque vie offerte, chaque ennemi terrassé était une offrande vivante à Iorr. Leur armure, austère et dépourvue d’ornement superflu, brillait d’un éclat d’argent, comme un miroir de leur foi.

Ils furent les garants de l’ordre moral et spirituel, autant que militaires. Leurs tribunaux internes, sévères, faisaient régner une discipline inflexible.

La Chute d’Azengal

En 703, lorsque les légions du Chaos menées par Urakis, la Bête de Guerre, assiégèrent Azengal, l’Ordre de la Croix d’Acier livra son dernier combat. Sous le commandement du général Leofric, les chevaliers de l’ordre résistèrent jusqu’à l’extrême limite, protégeant l’évacuation de milliers de civils via un portail magique activé dans les cryptes du temple principal.

Leofric et ses chevaliers livrèrent une dernière charge héroïque, repoussant l’inévitable pour offrir un espoir tangible à ceux qui fuyaient. Leur cri de guerre — « Par Iorr, que la lumière nous juge ! » — fut le dernier que l’on entendit dans les rues de la ville avant que le portail ne se referme, emportant le dernier fragment d’espoir de la cité.

Héritage

Depuis la chute d’Azengal, l’Ordre de la Croix d’Acier n’existe plus. Tous ses membres sont présumés morts, et ses bannières ont disparu sous les cendres. Mais leur mémoire perdure, chantée par les survivants, racontée dans les prêches clandestins et gravée dans les ruines.

Aujourd’hui, la Croix d’Acier est devenue un symbole. Pas seulement de sacrifice, mais de résistance sans compromis. Plusieurs jeunes fidèles, dans les bastions encore debout comme Darham, se revendiquent de leur héritage — non comme un ordre ressuscité, mais comme une idée vivante : celle que même face à l’effondrement du monde, la lumière ne se rend pas.