Différences entre les versions de « Les frères déchus »
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<b>Les frères déchus</b> sont une faction mineure de la [[Théocratie d'Eanor]]. Il s’agit de renégats qui prônent la liberté absolue et cherchent à renverser l’organisation religieuse du pays. | <b>Les frères déchus</b> sont une faction mineure de la [[Théocratie d'Eanor]]. Il s’agit de renégats qui prônent la liberté absolue et cherchent à renverser l’organisation religieuse du pays. | ||
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===Origines et évolution=== | |||
L’organisation est née au cours du VIe siècle, dans un contexte de tensions sociales et religieuses. Leur tentative de coup d’État avorté en 532 avait marqué leur déclin apparent. Mais dans l’ombre, leurs cellules ont survécu, se sont réorganisées, et ont tissé un vaste réseau souterrain à travers le pays. | |||
Leur emblème | |||
Aujourd’hui, les Frères Déchus ne se battent plus seulement contre la Théocratie. Ils luttent contre le Chaos, refusant à la fois la tyrannie du clergé et la domination corruptrice des Calamités. | |||
===Organisation=== | |||
Les Frères Déchus ne possèdent aucune hiérarchie fixe. Ils fonctionnent en cellules autonomes, chacune dirigée par un "Voilé", un meneur anonyme dont l'identité n’est connue que de quelques initiés. | |||
Leur réseau s’étend désormais dans les ruines d’[[Edylos]], les tunnels oubliés de [[Celnaer]], et jusque dans les quartiers pauvres d’[[Arcosia]] et d’[[Orios]], où ils fomentent des actes de sabotage, libèrent des prisonniers et font circuler des manifestes clandestins. | |||
===Symbole et doctrine=== | |||
Leur emblème, une torche dressée devant un livre ouvert, symbolise leur combat : l’éveil des esprits et la flamme de la liberté contre les ténèbres de la servitude. | |||
Ils prônent l’abolition des castes, la fin du monopole religieux sur la justice, et la restauration d’une société égalitaire fondée sur la raison, la connaissance et la volonté des peuples. Le recours à la violence n’est pas rejeté — il est perçu comme nécessaire face à la barbarie du Chaos et à la passivité des survivants. | |||
===Rôle actuel=== | |||
Depuis la chute de la Théocratie, les Frères Déchus sont devenus les plus actifs en territoire occupé après les [[Ailes d’Argent]]. Là où ces derniers frappent depuis les cieux, les Frères Déchus agissent dans les ruelles, les caves et les égouts. Certains murmures parlent même d’alliances temporaires entre les deux factions, unies dans un front commun malgré leurs divergences idéologiques. | |||
===Perception=== | |||
* Par les partisans de l’ordre ancien, ils restent des hérétiques dangereux. | |||
* Par les populations abandonnées, ils sont des figures d’espoir, parfois les seuls à résister activement à l’occupation. | |||
* Par le Chaos, ils sont une épine constante, insaisissable, imprévisible, et trop bien implantée pour être éradiquée. |
Version du 28 juin 2025 à 15:08
Les frères déchus | |
Informations sur la faction | |
Dirigeant | Inconnu |
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Nation parente | Théocratie d'Eanor |
La liberté ne se donne pas, elle se prend. Les Frères Déchus l'ont compris et sont prêts à tout pour la conquérir.”— Membre des frères déchus avant son exécution
Les frères déchus sont une faction mineure de la Théocratie d'Eanor. Il s’agit de renégats qui prônent la liberté absolue et cherchent à renverser l’organisation religieuse du pays.
Description
Les Frères Déchus sont une organisation clandestine Iustienne, jadis considérée comme un groupe marginal et radical opposé à la Théocratie d’Eanor, mais devenue aujourd’hui l’un des derniers réseaux de résistance active en territoire occupé.
Fondés sur des idéaux de liberté, de refus de l’autorité théocratique absolue et de rejet du dogme imposé par le culte de Iorr, les Frères Déchus ont longtemps été qualifiés de renégats, voire de terroristes par les institutions religieuses en place. Mais avec la chute de la plupart des grandes cités Iustiennes, leur discours a changé de portée : de subversif, il est devenu l’un des derniers cris de survie libre.
Origines et évolution
L’organisation est née au cours du VIe siècle, dans un contexte de tensions sociales et religieuses. Leur tentative de coup d’État avorté en 532 avait marqué leur déclin apparent. Mais dans l’ombre, leurs cellules ont survécu, se sont réorganisées, et ont tissé un vaste réseau souterrain à travers le pays.
Aujourd’hui, les Frères Déchus ne se battent plus seulement contre la Théocratie. Ils luttent contre le Chaos, refusant à la fois la tyrannie du clergé et la domination corruptrice des Calamités.
Organisation
Les Frères Déchus ne possèdent aucune hiérarchie fixe. Ils fonctionnent en cellules autonomes, chacune dirigée par un "Voilé", un meneur anonyme dont l'identité n’est connue que de quelques initiés.
Leur réseau s’étend désormais dans les ruines d’Edylos, les tunnels oubliés de Celnaer, et jusque dans les quartiers pauvres d’Arcosia et d’Orios, où ils fomentent des actes de sabotage, libèrent des prisonniers et font circuler des manifestes clandestins.
Symbole et doctrine
Leur emblème, une torche dressée devant un livre ouvert, symbolise leur combat : l’éveil des esprits et la flamme de la liberté contre les ténèbres de la servitude.
Ils prônent l’abolition des castes, la fin du monopole religieux sur la justice, et la restauration d’une société égalitaire fondée sur la raison, la connaissance et la volonté des peuples. Le recours à la violence n’est pas rejeté — il est perçu comme nécessaire face à la barbarie du Chaos et à la passivité des survivants.
Rôle actuel
Depuis la chute de la Théocratie, les Frères Déchus sont devenus les plus actifs en territoire occupé après les Ailes d’Argent. Là où ces derniers frappent depuis les cieux, les Frères Déchus agissent dans les ruelles, les caves et les égouts. Certains murmures parlent même d’alliances temporaires entre les deux factions, unies dans un front commun malgré leurs divergences idéologiques.
Perception
- Par les partisans de l’ordre ancien, ils restent des hérétiques dangereux.
- Par les populations abandonnées, ils sont des figures d’espoir, parfois les seuls à résister activement à l’occupation.
- Par le Chaos, ils sont une épine constante, insaisissable, imprévisible, et trop bien implantée pour être éradiquée.